Invitation à la pièce de théâtre « Ténor recherché » du Club Lions de Saint-Raymond

Bonjour,

Le Club Lions Saint-Raymond reprend du service en janvier 2019 et nous offre gracieusement 32 billets pour leur pièce de théâtre bénéfice annuelle.

Nous vous envoyons cette invitation hâtivement afin de confirmer nos places le plus rapidement possible auprès du Club Lions, tel que demandé par celui-ci.

Alors, si vous désirez rire et vous amuser encore cette année, nous vous invitons à vous joindre à nous pour aller apprécier la prestation de nos amis de Saint-Raymond, suivant l’initiative des Lions Christiane Lajeunesse et Louis Bourassa. Nous nous déplacerons par autobus scolaire.

Voici le détail :

1. Date de la pièce : vendredi le 18 janvier.
2. Durée : 2 heures 15 environ (20h00 à 22h15)
3. Titre de la pièce : « Ténor recherché » (voir description au numéro 12 plus bas)
4. Lieu : Centre multifonctionnel Rolland-Dion, 160, Place de l’Église.
5. Départ numéro 1 : 18h00
   McDonald, 4100, 1ère Avenue
6. Départ numéro 2 : 18h15
   Tim Hortons, 5050, boul. Hamel Ouest
7. Arrivée à destination : 19h15 et retour après la pièce, 22h30 environ.
8. Arrivée numéro 1 : 23h45
   Tim Hortons, 5050 boul. Hamel Ouest
9. Arrivée numéro 2 : 23h59
   McDonald, 4100, 1ère Avenue

10. Transport adapté : demandez votre transport pour arriver minimalement 15 minutes avant le départ et 15 minutes après le retour au point initial.

Coût pour l’autobus :

• Pour une personne H.V. : 8$
• Pour un accompagnateur : 12$
• Pour un bénévole requis par le CQPA : gratuit

11. Inscription :
    Comme il n’y a que 32 places, l’ordre d’inscription sera respecté. Apportez votre argent dans une enveloppe identifiée à votre nom et portant la mention « théâtre janvier ». Vous pouvez l’expédier également par la poste au CQPA (580, rue Valdôme, Québec (Québec), G1G 2X6)

12. Résumé de la pièce : le résumé est tiré d’Internet. Ne pas tenir compte des noms dans la distribution.

Ténor recherché

Notre présentation se passera à notre époque.

Pièce jouée par l’équipe de Benoît Brière en 2008.

Dans les années 30, la Société lyrique de Montréal, financièrement exsangue, met tout son espoir de redressement dans la venue du fameux ténor Tito Merelli. Le directeur, ours assez perfide merci, charge son adjoint et par ailleurs soupirant de sa fille de veiller sur le sauveur pendant son séjour.

Le sous-fifre s’appelle Max et est joué par nul autre que Brière, qui ne rate pas une occasion de faire bonne attisée comique des espoirs de l’amoureux transi et du chanteur que rêve d’être le personnage, de ça et de sa redoutable maladresse.

On nage en eaux de fiction, c’est entendu. Ludwig gratte avec talent le formalisme des conventions sociales entourant l’opéra, notamment le cliché de ses égos surdimensionnés. Cela n’empêche pas Merelli de s’intéresser aux aspirations artistiques du maladroit, de se prendre d’amitié pour lui, de le conseiller. Malgré une indisposition stomacale à laquelle Max remédie en forçant par trop la dose. Par chance, c’est Othello, le rôle du général maure de l’opéra éponyme de Verdi que Merelli est venu chanter…

Brière et Perry Schneiderman, metteur en scène du morceau, ont traduit la pièce. Nul besoin d’avoir lu le texte original pour constater la réussite du travail d’adaptation. Les répliques regorgent de québécismes juteux et de clins d’oeil rigolos de l’italien à la parlure québécoise.

L’action se passe dans une suite d’un chic hôtel vieillot, lieu séparé par un mur invisible. Schneiderman a mené là une chasse acharnée aux temps morts. Sa direction d’acteurs cultive un jeu physique, expansif et au besoin sensuel. La deuxième partie de la pièce est un feu roulant savamment entretenu de rebondissements.

Bienvenue à tous!